- 9 décembre 2016 : l'Arcep dévoile son observatoire de la transition vers IPv6. Il doit permettre de favoriser la coordination entre acteurs de l'internet en vue d'une accélération des déploiements et de fournir aux utilisateurs des informations sur l'état de la transition en France - y compris opérateur par opérateur. Une version enrichie sera publiée fin 2017. Un point d'étape sur la dynamique de transition sera réalisé par l'Arcep au printemps 2017. Communiqué de presse / L'observatoire
- 7 novembre 2016 : l'IAB (Internet Architecture Board), comité chargé de la surveillance et l'évolution d'internet via diverses organisations (telles que l'IANA, l'IETF et l'IRTF), préconise que les standards établissant le fonctionnement d'internet soient dorénavant conçus et enrichis uniquement pour le protocole IPv6, sans recherche de rétrocompatibilité avec IPv4. L'Arcep salue cette décision qui marque une étape majeure dans le processus d'adoption d'IPv6 qui doit entraîner avec lui simplification, sécurisation et innovation / La déclaration de l'IAB sur IPv6
- 30 septembre 2016 : le 11 janvier 2016, Axelle Lemaire saisissait l'Arcep d'une demande d'avis sur l'état de déploiement d'IPv6 en France. L'Autorité rend public son rapport, réalisé avec le concours de l'Afnic, au Gouvernement. L'Arcep propose un plan en six actions pour accélérer la transition vers ce nouveau protocole d'adressage. Fin 2016, elle publiera un observatoire pour suivre les déploiements, identifier les intentions des acteurs majeurs et les éventuelles sources de blocage
> Communiqué de presse
> Rapport au Gouvernement sur l'état de déploiement du protocole IPv6 en France
> Présentation de Sébastien Soriano, président de l'Arcep, du rapport sur la transition vers l'IPv6 en France, lors du France-IX's General Meeting 2016
- 27 janvier 2016 : Par un courrier en date du 11 janvier 2016, la secrétaire d'état chargée du numérique, Axelle Lemaire, a saisi l'Arcep sur l'état de déploiement du protocole IPv6. La tâche confiée à l'Arcep consiste à dresser l'état des lieux du déploiement de ce protocole et identifier les causes du retard constaté dans cette migration ainsi que ses conséquences sur le secteur. L'Autorité devra aussi proposer un plan d'actions de nature à encourager et accompagner la migration des utilisateurs et des entreprises et mettre en place un observatoire pour le suivi de cette transition. L'Autorité entend solliciter l'expertise de l'Association française pour le nommage internet en coopération (AFNIC) dans le cadre de ce projet. Remises des conclusions au gouvernement d'ici au 1er mai 2016 / Le communiqué de presse